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Le quotidien d'une trentenaire parisienne

Mes chères études. Etudiante, 19ans, job alimentaire : prostituée

Je viens de terminer Mes cheres etudes, un témoignage sur un phénomene mal connu en France : la prostitution etudiante. Laura a 18 ans, elle vient tout juste d'avoir son bac et s'apprete à s'inscrire à la fac en langues vivantes. Issue d'un milieu modeste, elle n'a d'autre choix que de travailler pour payer les factures mais peine malgré tout à joindre les deux bouts. Alors pour tenter de s'en sortir, un soir elle se met à repondre aux petites annonces d'hommes à la recherche de jeunes filles pour assouvir leurs fantasmes. Un client, puis deux, puis trois, Laura sombre dans la prostitution occassionnelle, celle de l'arrgent vite gagné.
Voici un témoignage bouleversant sur un phénomene peu connu mais qui toucherai 40000 etudiant(e)s en France. 40000 jeunes qui paient leur études grâce au sexe!! C'est édifiant. Je crois qu'on s'imagine trop la protistution cantonnée à des filles venues de l'est et qui tapinnent rue Saint-Denis ou dans certaines allées du Bois de Boulogne le soir. Mais apparement la paupérisation et la cherté des études ont amené certaines tranches de la population vers cette activité au demeurant très luccrative (Laura avoue des passes allant de 100 à 400 euros parfois plus). On peut penser ce que l'on veut des raisons qui ont poussé Laura à se protiistuer et des justifications qu'elle donne à ce qu'elle a fait rmais on ne peut pas fermer les yeux sur ce phénomène. C'est bien trop grave car combien de Laura tombent chaque jour dans cet engrenage et ne pourront plus jamais aimer ou tout simplement se regarder en face ?

La quatrième de couv' :  Issue d'un milieu modeste, Laura part faire ses études dans une grande ville française. La vie est chère, les aides sociales difficiles - sinon impossibles - à obtenir, et les horaires des petits boulots s'accordent bien mal à ceux de l'université. Le cercle de la précarité se resserre, Laura ne semble plus avoir d'autre choix que d'abandonner ses études.Un soir, surfant sur Internet, elle découvre un type d'annonces très particulier : les " rencontres vénales ". Poussée par un besoin impératif d'argent, elle répond à une offre. En un clic, sa vie bascule dans le monde infernal de la relation tarifée. Laura n'est pas seule à se battre avec cette sombre réalité. Des milliers d'étudiantes sont enfermées dans une vie qu'elles n'ont pas choisie. En osant dévoiler son histoire, Laura espère lever l'un des grands tabous de notre société.

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P
Beaucoup de philosophie et de mépris face à se phénomène, plus connu que l'on ne veux le croire.<br /> bien que critiqué ou salie, la prostitution et l'un des métier les plus ancien.<br /> Autrefois pratiqué par obligation physique ou alimentaire, aujourd'hui pratiqué par obligation matériel et <br /> psychique !<br /> Mon avis personnel, donc ne pas le prendre mal car je ne pense pas avoir la prétention de pourvoir convaincre tous le monde !<br /> Ce métier est souvent choisi par besoin créé par un système qui s'auto-pervertie, bien qui les difficile de le croire ce choix est fait par recherche de faciliter et &quot; fierté personnel &quot; face aux autres. En effet il est beaucoup plus dur à la base de faire des horaires de dingues chez Mc Do, ainsi que dévalorisant <br /> face au monde d'avouer, d'être étudiante en droit et travailler au Mc Do plutôt que garder une vie de prostituée cachée et pouvoir mener &quot;la grande vie&quot; !!!!
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M
<br /> Bonsoir,<br /> <br /> J'ai également été très intrigué par ce livre, et plus encore par ce phénomène. J'ai fini par réaliser un court métrage, Mes chères études, que vous pouvez voire sur dailymotion.<br /> <br /> http://www.dailymotion.com/video/xa2r9l_mes-cheres-etudes-internet_shortfilms<br /> <br /> J'ai aussi appris que Canal + vient de réaliser un téléfilm adapté du livre, on aura de quoi en reparler.<br /> Egalement intéressant sur le sujet, Girlfriend Experience, un long métrage de Soderberg encore en salle actuellement, sur Paris en tout cas.<br /> <br /> Enfin il est important, je pense, de considérer comme but premier de ces livres ou films, d'amener à la réflexion. Il n'existe pas de réponses à ces "problèmes", c'est pourquoi il ne faut pas<br /> tomber dans le jugement trop facile et stérile du "moi à sa place", mais justement d'essayer de se poser les bonnes questions, et de se mettre à la place de l'autre...<br /> <br /> A très bientôt, merci,<br /> <br /> Matthias Castegnaro<br /> <br /> <br />
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L
On peut s'interesser au phénoméne et se poser beaucoup de questions....<br /> Mais venant moi même d'un milieu modeste j'ai réalisé mes études sans me prostituer...oui bien sur pas de sorties, de fêtes ou de ciné sinon la bourse universitaire ne couvre plus le loyer et la nourriture. Le logement, parlons en aussi, rien d'un palace un tout petit studio ou une chambre chez l'habitant sinon impossible d'en payer le loyer.<br /> Mais je ne pense pas que l'on puisse demander à l'état de prendre en compte le confort et les divertissements des étudiants. La bourse couvre tout juste les besoins en logement et nourriture à condition de ne pas se montrer trop exigeant, mais elle les couvre
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L
<br /> <br /> Je suis d'accord avec toi : le phenomene existe et on ne peut pas l'ignorer. Apres ca ne veut pas dire que l'on approuve non plus. Comme tu dis, la bourse couvre<br /> l'essentiel c'est déjà ça. Je pense aussi a ceux qui sont juste à la limite et n'y ont pas le droit. Pour ceux-là il est certain que c'est peut-etre plus dur. Et que là le risque existe encore<br /> plus grand de basculer du mauvais côté. Merci en tout cas de ton témoignage.<br /> <br /> <br /> <br />
J
C'est mieux de se prostituer, HONNêTEMENT, que de travailler avec Fofana...
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S
j ai également lu ce temoignage et il laisse à réfléchir sur combien de jeunes filles tombent de nos jours dans cet enfer , plus qu'on ne le pense sans doute ....
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L
<br /> La postface parle de 40000! c'est enorme je trouve<br /> <br /> <br />